Le mamelon invaginé est une petite malformation où il existe une rétraction du mamelon en rapport le plus souvent avec une brièveté des canaux galactophoriques (canal qui relie la glande au mamelon).
Uni ou bilatéral, il est responsable de complexes parfois profonds et peut gêner l'allaitement et/ou la vie sexuelle.
Le but de l'intervention est de re-projeter le mamelon en sectionnant les canaux galactophoriques rétractés.
Les cicatrices sont très discrètes, et localisées à la base du mamelon ou de l'aréole.
Le résultat morphologique définitif ne peut être jugé qu'à 3 mois de l'intervention.
Les complications post-opératoires liées à la chirurgie sont rares. Ce sont celles communes à toutes les interventions chirurgicales : hématomes, infections, troubles de la cicatrisation.
Après l'intervention, l'allaitement est impossible.
Cette intervention peut être prise en charge par l'assurance maladie (pour partie car il existe des dépassements d'honoraires).
Le mamelon invaginé est une petite malformation où il existe une rétraction du mamelon en rapport le plus souvent avec une brièveté des canaux galactophoriques (canal qui relie la glande au mamelon).
Uni ou bilatéral, il est responsable de complexes parfois profonds et peut gêner l'allaitement et/ou la vie sexuelle.
Le mamelon invaginé est une petite malformation où il existe une rétraction du mamelon en rapport le plus souvent avec une brièveté des canaux galactophoriques (canal qui relie la glande au mamelon).
Uni ou bilatéral, il est responsable de complexes parfois profonds et peut gêner l'allaitement et/ou la vie sexuelle.
Le but de l'intervention est de re-projeter le mamelon en sectionnant les canaux galactophoriques rétractés.
Les cicatrices sont très discrètes, et localisées à la base du mamelon ou de l'aréole.
Le résultat morphologique définitif ne peut être jugé qu'à 3 mois de l'intervention.
Les complications post-opératoires liées à la chirurgie sont rares. Ce sont celles communes à toutes les interventions chirurgicales : hématomes, infections, troubles de la cicatrisation.
Le risque principal est la récidive, partielle ou complète, notamment si l'invagination est peu réductible avant intervention.
Après l'intervention, l'allaitement est impossible.
Cette intervention peut être prise en charge par l'assurance maladie (pour partie car il existe des dépassements d'honoraires).