À la suite d'un amaigrissement important ou simplement des effets du temps, la peau de la cuisse qui a perdu son élasticité naturelle se relâche et tombe. Un excès de graisse peut également persister. L'ensemble confère à la cuisse un galbe disgracieux et peut également être source d'inconfort physique.
Le but de la cruroplastie est de galber la cuisse pour lui redonner un contour harmonieux et ferme. Elle permet de retirer l'excès graisseux et de remettre en tension l'enveloppe cutanée.
Elles sont variables en fonction de la technique et des séquelles présentées :
¬ En cas de relâchement important intéressant une grande partie de la hauteur de la cuisse, la cicatrice forme un "T" : une cicatrice verticale le long de la face interne de la cuisse, rejoint en haut une cicatrice horizontale à la racine du membre.
¬ En cas de relâchement situé essentiellement dans la partie supérieure de la cuisse, seule une cicatrice horizontale à la racine du membre peut suffire.
Le résultat morphologique définitif ne peut être jugé qu'à 3 mois de l'intervention, après fonte totale de l'œdème et rétraction cutanée. Quant aux cicatrices, elles ne sont jugées qu'à 1 an du geste opératoire.
Les complications liées à l'anesthésie générale sont exceptionnelles et vous seront exposées par le médecin anesthésiste au cours de la consultation pré-opératoire.
Cette intervention peut être partiellement prise en charge par la sécurité sociale à la suite d'un amaigrissement important (pour partie car il existe des dépassements d'honoraires).
À la suite d'un amaigrissement important ou simplement des effets du temps, la peau de la cuisse qui a perdu son élasticité naturelle se relâche et tombe. Un excès de graisse peut également persister. L'ensemble confère à la cuisse un galbe disgracieux et peut également être source d'inconfort physique.
À la suite d'un amaigrissement important ou simplement des effets du temps, la peau de la cuisse qui a perdu son élasticité naturelle se relâche et tombe. Un excès de graisse peut également persister. L'ensemble confère à la cuisse un galbe disgracieux et peut également être source d'inconfort physique.
Le but de la cruroplastie est de galber la cuisse pour lui redonner un contour harmonieux et ferme. Elle permet de retirer l'excès graisseux et de remettre en tension l'enveloppe cutanée.
Ce lifting de la cuisse associe donc souvent :
¬ Une lipoaspiration.
¬ Une résection cutanée avec cicatrice.
Elles sont variables en fonction de la technique et des séquelles présentées :
¬ En cas de relâchement important intéressant une grande partie de la hauteur de la cuisse, la cicatrice forme un "T" : une cicatrice verticale le long de la face interne de la cuisse, rejoint en haut une cicatrice horizontale à la racine du membre.
¬ En cas de relâchement situé essentiellement dans la partie supérieure de la cuisse, seule une cicatrice horizontale à la racine du membre peut suffire.
Le résultat morphologique définitif ne peut être jugé qu'à 3 mois de l'intervention, après fonte totale de l'œdème et rétraction cutanée. Quant aux cicatrices, elles ne sont jugées qu'à 1 an du geste opératoire.
Afin que le résultat soit pérenne, il est essentiel de conserver un poids - relativement - stable après l'intervention.
Les complications liées à l'anesthésie générale sont exceptionnelles et vous seront exposées par le médecin anesthésiste au cours de la consultation pré-opératoire.
Les complications post-opératoires liées à la chirurgie sont également rares. Ce sont celles communes à toutes les interventions chirurgicales : hématomes, infections.
Des troubles et retards de cicatrisation sont possibles. Ils nécessitent souvent le passage d'une infirmière tous les jours les premières semaines.
Cette intervention peut être partiellement prise en charge par la sécurité sociale à la suite d'un amaigrissement important (pour partie car il existe des dépassements d'honoraires).